« Home Office » : pour ou contre ?

Home Office, ou télétravail

Pour que cela soit un réel apport pour tout le monde, il faut que, du côté salarié, l’aménagement de son organisation et de sa logistique soit correct (et/ou accompagné) et que du côté de l’entreprise, tout soit bien pris en compte pour que l’efficacité d’un travail collaboratif soit, à minima, égale avec le système traditionnel.

Loin des yeux, loin du cœur

Un des travers dans lequel risque de tomber une entreprise qui autorise le télétravail est «d’ oublier » ses salariés (ou pour le moins de les marginaliser), et/ou de ne pas respecter leur organisation.

Pour le salarié, le retour d’informations, auparavant (parfois)  moins « formel », doit également être systématisé.

De (petits) efforts partagés

Je me rappelle d’un temps (lointain) où une salariée d’une grande banque d’envergure nationale avait obtenu, pour convenances personnelles, l’accord de sa Direction pour effectuer 2 jours par semaine de « Home Office ».

Alors oui, là encore, cela pose la question du respect (autant du salarié que de l’entreprise), et de la confiance nécessaire pour mettre en place un tel système (dans la mesure où un travail à distance « fliqué » n’est ni souhaitable, ni confortable pour personne).

A la carte ?

C’est la raison pour laquelle je suis plutôt partisan d’un aménagement « sur mesure », avec des personnes suffisamment autonomes pour pouvoir s’épanouir dans ce mode de fonctionnement (franchement pas aisé, qui peut être vite ressenti comme de l’ostracisation), et avec qui il y a une réelle relation de confiance, partagée et solide.